Oui M'sieur… l'apnée chez nous c'est sérieux !
Oui M'sieur… l'apnée chez nous c'est sérieux !

Nous aussi nous craquons parfois et nous aimons vous faire partager...

ici, des livres, des films, de tout... de la passion

Arthur a écrit un livre ! il est incroyable ! (sortie le 15 avril)

 

Notre ami, le Grand, le Roi Arthur a écrit un livre (presque tout seul). Il parle de vous tous.  Il évoque aussi le plaisir en apnée, sans oublier ses résultats. Une visite des records du Monde par l'intérieur.

Les activités, les gestes, les mises en palce de la sécurité, tout y est

Bravo Arthur ! 

Une superbe émission réalisée par Aline PénitotA écouter

 

Le bivouac se pose en mer de Baffin écoutez chanter les baleines, puis en terres françaises oubliées Baleines à bosse, cachalots, beluga, les cétacés émettent des sons pour communiquer entre eux, audibles à nos oreilles. Ces sons se marient en un chant poétique qui fascine les voyageurs. Aline Pénitot est réalisatrice et créatrice d'oeuvres sonores; avec Olivier Adam spécialiste des cétacés ils se sont rencontrés lors d'un voyage arctique autour de la valse des baleines.

L’archipel des Chesterfield, les îlots contestés de Hunter et Matthew, les Domaines français de Sainte-Hélène, l’île basque de Floreana, le Pays Quint, la forêt du Mundat, l’île intermittente de Julia, l’introuvable île des Démons ou le mystérieux récif Ernest-Legouvé… Le bivouac part visiter ces terres françaises oubliées de tous avec l'historien Bruno Fulgini.

Un récit écrit par Pierre Jean, qcadre du club pendant des années, figure incontournable de notre club, Il est parti seul sur son voilier poursuivre ses rêves.

Voici le troisième épisode de son voyage

 

C’était il y a déjà une saison, je venais de franchir pour ma grande fierté le cap Finistère, ce qui signifiait pour moi un peu comme de pénétrer par la petite porte dans le monde des marins passeurs de caps, des marins dévoreurs d’océans.

J’avais prévu de ne séjourner que quelques jours à La Corogne mais ce fut presque un mois. Non que le ciel me soit tombé sur la tête mais il a fallu composer avec les contraintes de la vie terrestre -AR en Nlle Zélande entre autre- et la météo.

Perturbé mon programme et annulées mes visites dans le pays basque.

Remonter vers La Rochelle ne fut pas chose aisée face à un vent ayant décidé de souffler dans la direction opposée de celle souhaitée ; au demeurant c’est un peu son habitude entre janvier et juin, alors !

Ajouter à cela la persistance des problèmes de moteur rencontrés à mon arrivée en Gallice; enfin de moteur, plutôt de la liberté pour le gas oil de circuler librement à l’intérieur de sa tuyauterie, ce dernier devant jouer des coudes pour se frayer un chemin au milieu de la colonie de bactéries qui, trouvant l’espace du réservoir trop étroit, avait décidé de migrer, elle aussi, vers d’autres horizons : démontage des filtres, remontage, amorçage du circuit, démarrage, recommençage…mais voulait rien savoir le bougre et le ronron demeurait hoqueteur, sans aucune puissance. Blocage des dépôts de carburant à Paris, même combat à bord de Maméju!!

Un autre souci de taille pointait son nez : celui des batteries de service donnant des signes de fatigue récurrents, obligeant à démarrer le moteur toutes les deux heures pour le pilote.  

Au près poussif au large de la côte landaise; au près combatif dans le Pertuis d’Entioche, face au disque couleur de sang du soleil naissant, avec 25 noeuds de vent et contre le courant, l’ennemi invisible et sournois. Quelle émouvante surprise en ce lever de jour de voir apparaître sur l’AIS le nom de Joshua, le bateau avec lequel Moitessier a fait sa « Longue Route », puis de le voir entrer à l’abri comme nous.

Faute de moteur c’est aussi en tirant des bords que nous remontons le très étroit (je pourrais même dire seize) chenal du port des Minimes. 

Les travaux pouvaient enfin commencer : vidange du réservoir de gas oil et changement des filtres, double vitrage des ouvertures, accrochage des tableaux et de l’écran DVD, installation du poêle et de l’évacuation des fumées, réparation de la grand voile et du spinnaker, installation dans le carré d’un terminal indiquant le cap, la vitesse, la force et la direction du vent. Livraison du nouveau génois et bien sûr préparation du bateau en prévision du Spitzberg. 

Heureusement j’ai été bien entouré et aidé pour effectuer tous ces travaux; merci à eux. 

Ce fut l’occasion de recevoir des amis, ceux des stages Régénère habitant la région ou de passage à La Rochelle, d’en visiter d’autres, perdus de vue mais pas oubliés, résidant sur l’île de Ré proche. Que ceux que je n’ai pas informés de mon séjour dans leur région ne m’en veuillent pas, je serai de retour à l’automne pour partager avec eux quelques huitres.

Après quinze jours de besogne, au coucher du soleil le 4 mai Maméju passait sous le pont de l’île de Ré et pointait son étrave vers le Croisic.

L’occasion d’un passage dans le pays qui m’a vu naître, celui de ma petite enfance et de ma famille maternelle ; enfin d’y retrouver mes parents. Beaucoup d’émotion que d’y arriver sur mon bateau, à la voile, de voir se dresser le clocher du Bourg de Batz et la flèche au loin de la collégiale de Guérande, de passer à quelques encablure de la plage où j’ai fait mes premiers pâtés de sable et de percevoir les effluves salines du marais. 

Là, vidage de tout ce qui était superflu et susceptible de prendre l’humidité lors d’un séjour sous les latitudes septentrionales.

Chez mes parents retrouvailles émues avec ma veste en duvet, celle qui me suivait partout l’automne venue quand j’avais 20 ans; tu vas bien me servir je crois tout là haut ma vieille copine des heures de mistral à -10°C.

A peine une galette au beurre avalée, après de chaleureuses embrassades et avant que la marée ne soit trop basse bloquant notre sortie du port, accompagné de mon père, cap sur l’île de Groix.

Premier mouillage sauvage avec Maméju dans un lieu déjà visité il y a quelques années, riche en araignées et en pousse pieds.

Dans le froid du matin pas facile de revêtir sa combinaison et de se glisser dans une eau qui, si sa température n’est pas celle du pastis en été, n’en est pas moins très fraîche et son ressenti proche du zéro absolu; bon je sais l’absolu est une perception qui peut être rapidement atteinte par la nature humaine. Heureusement quelques araignées plus tard le bonheur d’une douche chaude sur la plage arrière…prévoyant le capitaine.

De Groix navigation de nuit vers la mythique Ouessant. 

Pas trop le temps de trainer sur l’île aux phares et d’en faire le tour, dommage, car il faut s’occuper du moteur hors bord qui cherche à imiter son grand frère. Ni moi ni le mécanicien du lieu venu au port me chercher ne trouverons l’origine exacte du sinistre. J’aurais besoin des services d’un spécialiste et ce sera en Irlande.

Ouessant baignée de soleil disparait en fin d’après midi dans le sillage de Maméju qui s’enfonce dans la manche et quelques heures plus tard dans le brouillard. 

Deuxième traversée, sans visibilité cette fois, d’un des rails les plus fréquentés au monde. Nous nous faisons d’ailleurs rappeler à l’ordre par le centre de contrôle du rail car nous faisons une route qui est presque contraire au sens prévu, ce qui est interdit; je perçois la sensation de la règle s’abattant sur mes doigts.

Journée purée de pois dans le Channel et à la nuit déjà bien avancée nous prenons un corps mort sur l’île Sainte Mary aux Scilly Isles, au large de la Cornouaille.

Ce n’est que deux jours plus tard, sous un soleil estival et dans la voisine Tresco que le charme des Scilly opèrera sous une lumière crue, presque froide, de celle que l’on croise dans le nord, éclairant la multitude de rochers et d’ilots alentour, les plages désertes, les collines recouvertes d’ajoncs en fleurs et les maisons basses de granit gris. Quelle merveille au soleil couchant, laissant éclater sa gloire sur le flot, de voir serpenter dans le chenal une barque et ses rameurs. Reprenant Baudelaire « Là tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté ». 

Je me serai bien alangui aux Scilly pour quelques perfusions de charme et d’atmosphère mais il me fallait reprendre ma course au nord.

Et c’est ainsi que d’îles en îles, besognant contre les nombreux courants, que Maméju se posa dans le port de Dun Laoghaire (prononcer Dun Lairrie, eh oui le pays est celtique) tout proche de Dublin.

Solutionner le cas du hors bord, essayer de comprendre celui des batteries, commencer à approvisionner le bord; que de choses à faire quand on aspire seulement à dormir, lire ou se balader.

Tout est plus compliqué sur un bateau. Prenez les batteries par exemple, eh bien pour y accéder il faut défaire le lit, enlever les matelas, les mettre dans un endroit qui ne gênera pas, déployer des efforts surhumains pour les sortir de leur logement, etc. Bon défaire son lit je vous l’avoue c’est une formalité mais le refaire vous n’y pensez certainement pas dans un espace vaste comme un dé à coudre et bas de plafond… je n’ai plus 20 ans les amis.

A Dublin on ne trouve pas de batteries, il faut aller à Belfast; alors allons à Belfast.

Juste le temps, symbolique mais suffisant pour tomber amoureux, de m’imprégner de l’atmosphère particulière de la capitale de la République d’Irlande, de ses ruelles étroites dans lesquelles un pub succède à un autre, de sentir la lente descente de la Guiness, de passer bien au large du fumet particulier des traditionnels Fish and Chips, de rater l’agneau à la mode locale et d’être charmé par une chevelure rousse disparaissant à grand coup de pédale dans mon lointain, juste le temps….

Quel contraste entre Belfast bien propre sur elle, moderne, sans grand intérêt et sa voisine Dublin. Trois petits tours de la ville on Sunday, les batteries le lundi et en début de nuit cap sur la pointe Est de l’Irlande puis sur le port de Ballycastle où non loin se trouve la Chaussée des Géants. 

Un de mes penchants naturel est ma tendance à commencer la journée en fin d’après midi, alors imaginez quand le jour fini à point d’heure comme c’est le cas au fur et à mesure que je gravis le nord. Cela ne manque pas il est 17h quand on se met en route pour The Giant Causeway distante d’une vingtaine de miles. Ce sera le dernier bus donc retour en stop ou à pied.

Au centre d’une moitié de cirque majestueux, avec d’un côté de hautes falaises et de l’autre le ciel et le soleil, émerge, au milieu des vagues, une voie pavée géante en forme de corne d’abondance, formée de cristaux géants, les fameuses orgues basaltiques. Le spectacle prend encore plus de puissance dès que l’on s’élève, ce qui fût notre cas pour revenir au port, dans l’or du soir, par le sentier côtier, glanant ça et là quelques plantes sauvages.

Je quittais à regret l’Irlande printanière le cœur nourri du sentiment ne pas y avoir séjourné plus longtemps.

Dans la pénombre du soir déjà bien avancé, direction l’Ecosse toute proche et l’entrée du canal Calédonien par lequel nous en effectuerons sa traversée. 

Le dit canal s’élève d’une trentaine de mètres et emprunte de petits lacs, appelés ici Loch, enserrés entre les vieilles montagnes, dont le fameux Lochness. 

Imitant l’invisible maître des lieux, Maméju serpentera trois jours, trois jours de beau temps mais trois jours de vent de face, à s’élever puis redescendre au rythme des écluses dans les tendres verts des paysages hantés. 

Et pas vu Nessie ma fois!

Un rapide passage dans Inverness à la sortie du canal pour y faire provision de la nourriture nécessaire jusqu’à Tromso, au nord de la Norvège, car pas sûr de la trouver aux Shetlands, terme de la prochaine escale.

Sur le chemin un stop de quelques heures dans la charmante Fair isle où nichent un couple d’oiseaux sur chaque rebord plus ou moins horizontal des falaises qui la ceinturent. 

Notre arrivée dans l’abri qui sert de port est saluée par un phoque, sans aucun doute le patriarche du lieu vu l’imposante moustache derrière laquelle se dessinent ses yeux ; il ne lui manque que la bouffarde, et une guitare qui sait..

Une nuit plus tard, à 6h du matin Maméju se met à couple d’un voilier norvégien dans le mouchoir de poche qui sert de port de plaisance à Lerwick, la capitale des Shetlands.

Me voilà bien au nord, pas encore au nord de tout, mais déjà l’œil perçoit le rougeoiement du soleil à minuit dans l’horizon. 

Je vais vers mon rêve d’enfant, celui qui émerveille l’Homme occidental depuis la nuit des temps, si je peux me permettre, et pour qui cela semble inconcevable tant sa croyance s’appuie sur le rythme jour/nuit depuis sa naissance : le soleil de minuit. 

Je sens maintenant en moi monter une douce excitation à l’approche de ce phénomène.

Bon je ne m’excite pas trop car il reste encore quelques jours de mer avant de toucher à ce premier Graal.

Un printemps plus tard donc, pendant que je vous écris, me voilà dans un autre Finistère, au beau milieu de la mer de Norvège, en approche du port de Tromso d’où Maméju et son capitaine partiront vers leur deuxième Graal : le Spitzberg.

Neuf journées de mer, je devrais dire « jours » car depuis les Shetlands il n’y eut presque plus, puis plus du tout, de coucher de soleil, plus cet instant où en pyjama il disparait derrière l’horizon.

Quel spectacle par temps peu couvert, avant d’aller me coucher, d’assister sur fond de braises, à la féérie des rayons jouant avec les nuages. La scène est infinie, le rideau ne tombera plus avant fin juillet.

Depuis Tromso il y a encore cinq à six jours de mer avant d’atteindre le Spitzberg où je pense rester jusqu’au 7 Août.

J’ai du mal à croire et m’imaginer si haut en Europe. Si lorsque j’étais aux Canaries cet hiver cela me paraissait une montagne, maintenant que j’y suis, la montagne s’est muée en progression naturelle. C’est sans doute cela Voyager, de pas à pas, de petits riens en petits riens.

Je suis à cette latitude sans m’en être aperçu vraiment, tant ma vie sur Maméju est belle et heureuse. Les jours s’y écoulent sans que j’y prenne garde.

Je vis ce que j’ai toujours voulu vivre et je ressens profondément le bonheur d’être moi.

Je vous serre dans mes bras

Pierre-Jus

PS1 : En attendant Maméju bataille au près depuis 24h dans plus de 25 nœuds de vent et il reste 150 miles à parcourir, soit deux bons jours compte tenu de la mer…

PS2 : Je suis à Tromso


Pierre Jean Caron

Un récit écrit par Marie Laure,

qui nous a accompagné tout au long de la compétition du 13 décembre.

Ne pas manquer d’inspiration, découvrir l’apnée statique de compétition, par et pour Apnée Passion.

Un oeil sur l’horloge de la voiture qui roule vers Montreuil.
Un oeil sur la montre…Ce ne sera que le début d’une longue série pour la matinée à venir.
Un binôme s’avance dans l’humide matin de décembre. C’est un nouveau matin, mi figue mi raisin. « Pas assez dormi, pas assez reposé ».
C’est une première compétition dans cette discipline pour l’un, c’est une totale découverte pour l’autre qui devra faire office de coach.
En calligraphiant un protocole de préparation la veille, sur une feuille arrachée d’un carnet.
Le hall du centre nautique.
Loin de l’humidité pesante, la tiédeur tropicale de l’air offre un sirocco chloré.
Une armada de tee-shirts rouges se tient derrière un stand accueillant, représentant clubs et acteurs participants.
Cette impression de cohésion révélant la force d’une organisation me convoque à l’univers de la compétition.
Des camarades se retrouvent, s’embrassent, s’appuient sur l’épaule avec affection. D’autres s’observent de loin, puis se saluent, parfois de près.
Puis, tout le matériel est listé… Plombs, lunettes, pince nez,
Tout est contrôlé, estampillé, marqué d’un petit scotch blanc.
Il est temps d’avancer pour s’installer autour de la grand’mare chlorée, qui semble abandonnée.
Des mètres cubes d’eau disponibles, offerts, qui semblent patienter pour célébrer l’arrivée des athlètes.
Le centre est pris d’assaut mais tout est bien rodé.
L’épreuve de statique peut démarrer.
Temps de préparation, temps de passage...
Quelques ajustements encore : nœuds de lunettes, bricolage de dépannage.
Et nous voilà devant le petit bain.
Fermer les yeux, se détendre la nuque et faire taire les vagues brumeuses du sommeil.
Puis c’est l’immersion en combinaison pour démarrer la préparation.
Il s’allonge dans l’eau, les premiers exercices démarrent, suivant le protocole .
Une voix calme, audible, claire mais douce : équilibre à tenir pour pari de coach de circonstance à honorer!
Un oeil sur le chrono, l’autre sur l’athlète à l’eau. Rendu, concentré.
Et c’est l’heure du passage.
Lentement, glisser vers le plot où est rassemblé le jury.
Lentement, faire glisser l’athlète, serpentin détendu jusqu’à la zone où il est attendu.
Une série de précisions s’échange entre le petit comité: identité, buller, temps annoncé et pas d’ «I am OK».
Puis l’appel du micro annonce le début de la performance.
Dernière inspiration, chacun à sa façon.
Je me vois descendre en simultané.
Allongé à plat ventre il est parti sous l’oeil du jury.
Un oeil sur la montre , l’autre sur ma main qui frôle la surface de sa combinaison.
Arrivent les premiers signes de lutte, contrés par quelques signes OK sous l’eau à distinguer.
Il semble se rendormir.
Puis une nouvelle vague de lutte, des spasmes à recevoir et à apprivoiser.
Un oeil sur la montre, et … vite trouver une idée.
Je glisse mes lèvres sous l’eau et entame une mélodie.
Je n’ose croiser le regard du jury qui de cette méthode pourrait bien être surpris.
Un oeil sur la montre. Une main sur le dos tremblant, les minutes s’égrainent avec le chant.
Plusieurs résistances, plusieurs luttes arrachées avant de sortir.
Et doucement, revenir à son essentiel.
Respirer bien en face du jury attentif.
Des mots à dire, le regard à soutenir, son souffle à redécouvrir, qui semble plus dense qu’à l’accoutumée…
Du temps encore, du temps et des regards concentrés partagés.
Fin de la performance.
Finalement entendre avec les remerciements du jury :

« C’était original cette mélodie ! ».
Dans un regard complice, assumant l’effet de surprise, athlète et pseudo-coach sourient, conscients d’avoir pu mêler apnée et créativité.


Marie-Laure KLINGNER

le monde en partage ou la pollinisation des idées,

Thanh pollinise les idées

Elle est incroyable ! Regardez le TED TALK, lisez un bout de la bio ! 

 

N'hésitez pas à lui en parler ou lui poser vos questions.

 

un livre : "des abeilles et des hommes"

Video : un TED TALK

Un livre magnifique co-écrit par Guillaume Daoulas,

membre de notre club, qui a effectué un voyage d'une année autour du Monde à la rencontre de pêcheurs traditionnels.

De superbes rencontres et des échanges incroyables !

A lire, à découvrir.

N'hésitez pas à lui en parler ou lui poser vos questions.

 

Lien vers la maison d'édition :  laMartiniere 

Teaser :  vidéo 

Un livre écrit par Sandrine Loncke,

membre de notre club, qui, bien que loin de l'eau, nous surprend : un rassemblement pour faire une guerre annuelle pour faire la paix pour un an et dont les seules armes sont le Chant et la Danse.

Une découverte !

N'hésitez pas à lui en parler, à découvrir

 

Un complément multimédia : En route

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